C’est dans l’air du temps : Il faut absolument mieux se connaître soi-même...Mais pourquoi faire ?
Nous devons chercher, comme une injonction sociétale, à mieux connaître nos points forts, nos capacités, nos qualités, nos talents, nos fragilités et nos points faibles !
Pour exister, c’est à dire pour avoir une réalité sociale, politique, éthique … pour vivre pleinement, notre nature humaine – corps esprit âme – il nous faut connaître notre niveau de pouvoir. « Pouvoir » au sens d’avoir la possibilité d’interagir, d’être en relation avec les autres ou d’avoir la capacité d’asseoir une présence sur les évènements (dans le couple, la famille, dans un groupe ou dans les médias).

En poursuivant dans ce sens, pour compléter ma connaissance de moi-même, est-ce que ma quête me pousse également à connaître mon degré d’humilité ? Dans quelle mesure est ce que je travaille ma capacité à rester modeste, à chercher la sobriété et même une forme d’égalité humainement parlant (anthropologiquement) ?
Dans quelle mesure est-ce que j’aspire plutôt à briller ou à me rendre visible à tout prix ? à chercher à paraître meilleur.e ou supérieur.e à l’autre ? ou même à dominer l’autre et pourquoi pas, à soumettre la Nature !!

Lorsque nous avons découvert cette valeur essentielle pour bien vivre ensemble, mais surtout pour participer activement à l‘élévation de la conscience collective tous les paradigmes sont chamboulés et peuvent être perçus sous un nouvel angle : l’angle de l’HUMILITE comme moteur pro actif à l’évolution de l’humanité toute entière.

A chaque fois que je pense mal de quelqu’un ou d’une situation qui me chagrine, qui me dépasse, voire qui me heurte, récitons-nous intérieurement « je ne suis pas meilleur.e que … … ! » et immédiatement notre angle de compréhension de la situation change et notre regard sur la personne et sur les évènements eux-mêmes sera plus apaisé et offrira la possibilité d’une ouverture…vers….

Essayez pour voir !
Et on en reparle !